Aux entreprises qui se sont endettées pendant la crise sanitaire et veulent reprendre
– ou poursuivre – leur développement, SODIV peut apporter des fonds propres, sans
toucher à la structure de leur capital ou à leur gouvernance.
ORACES, l’emprunt obligataire remboursable en actions, répond au besoin des
entreprises de renforcer le haut de leur bilan, tout en conservant la maîtrise
de leur avenir.
SODIV intervient principalement par le biais du prêt participatif (50 000 à 150 000 €). Ce prêt s’adapte à tout type de projet : création, développement, reprise, programme de R&D, …
Sans caution ni garantie, il est assimilé à des quasi fonds propres permettant de renforcer la structure financière de votre entreprise et d’améliorer votre capacité d’endettement.
Totalement libre d’affectation, ce prêt vient directement conforter votre Fonds de Roulement. Il assure un effet de levier auprès des banques ou d’autres financeurs.
C’est ainsi une véritable relation de confiance sur plusieurs années qui s’installe entre vous et SODIV. Le taux proposé tient compte de ces caractéristiques exceptionnelles ; il peut dans certains cas être bonifié par des conventions de revitalisation.
Lorsqu’elles mettent en œuvre des plans de licenciements collectifs affectant, par leur ampleur, l’équilibre du ou des bassins d’emploi dans lesquels elles sont implantées, les entreprises de plus de 1000 salariés sont contraintes de financer des actions de revitalisation (article L 1233-84 du Code du Travail).
Ces actions de revitalisation prévoient une contribution financière, dont l’objet est de financer les mesures destinées à compenser les pertes d’emplois dans les territoires touchés par les plans sociaux.
L’une des mesures de revitalisation préconisée est le soutien du tissu économique local au travers d’une action de financement de TPE et PME créatrices d’emplois.
SODIV, à partir du budget alloué par l’entreprise assujettie à l’obligation de revitalisation, met en place un fonds d’intervention de prêts participatifs à taux bonifié qui facilite la création d’emplois sur les territoires en difficulté, en allouant des financements particulièrement attractifs. Le budget de revitalisation couvre les frais de gestion des prêts, le différentiel d’intérêt lié à la bonification et une part du risque.